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Une goutte d’eau représentant la Terre tombe sur un sol desséché.

L’eau en 2050

L’eau est un facteur déterminant dans la façon dont notre planète peut composer avec la croissance continue de la population. Le développement économique des pays et leur capacité d’attirer des investissements pourraient être compromis si les ressources en eau douce ne sont pas gérées judicieusement.

Étant donné la progression fulgurante de l’activité humaine et la lenteur actuelle dans la gestion de problèmes aussi complexes que les ressources en eau, les enjeux de demain sont déjà d’actualité. De nombreuses régions du monde sont déjà soumises à des stress hydriques en raison de l’augmentation de la population et du développement économique.

Selon l’organisme Growing Blue, l’économie mondiale doit continuer à croître afin de subvenir aux besoins de la population planétaire, et l’eau douce est essentielle à cette croissance.

PRINCIPALES CONSÉQUENCES

Conséquences économiques

Un accès limité à l’eau crée un risque d’entreprise qui a une incidence sur les décisions en matière d’investissement. Pour faire prospérer nos économies et créer des emplois, nous devons trouver dès maintenant des solutions appropriées concernant l’eau.

Conséquences environnementales

Plus la population augmente, plus les besoins en eau se font sentir. Or, les particuliers, les entreprises et les écosystèmes utilisent les mêmes ressources en eau. Un environnement sain nécessite une gestion de l’eau fondée sur la durabilité.

Conséquences sociales

La population mondiale croît et s’urbanise, ce qui exerce une pression considérable sur les ressources en eau douce. Pour garantir des réserves d’eau douce aux générations futures, nous devons dès maintenant gérer adéquatement l’utilisation que nous en faisons.

Si la société décide de faire fi de la réalité des ressources limitées en eau, l’insuffisance d’eau aura des conséquences pour deux fois plus de gens, le nombre de personnes touchées passant de 2,4 milliards à 4,8 milliards d’ici 2050. Si rien n’est fait, une grande partie du PIB mondial (soit 63 000 G$ US) pourrait être en péril en raison des stress hydriques.