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L’intelligence artificielle et les relations homme-machine sont illustrées par l’image d’une poignée de main entre une personne et un robot. 

L’homme et l’intelligence artificielle : Partenariat révolutionnaire

L’intelligence artificielle, dont le marché devrait atteindre 70 G$ en 2020, est sur le point de transformer les habitudes des consommateurs, des entreprises et des gouvernements du monde entier.

Selon ce rapport de PwC (en anglais), qui porte sur la manière dont l’intelligence artificielle (IA) nous rapproche des machines, l’ouverture d’esprit sera bientôt le principal atout qu’il faudra avoir dans son jeu. Afin de tirer parti de l’IA, nous aurons donc intérêt à faire preuve d’une pensée pratique et critique sous peine de rester à la traîne. 

Principales constatations

Parmi les dirigeants interrogés, 55 % pensent que les effets positifs de l’IA sur la productivité l’emportent sur les éventuelles préoccupations en matière d’emploi.

  • Moins de tâches répétitives = plus de grandes idées. Les dirigeants sont d’avis que l’IA pourrait grandement réduire leurs tâches répétitives, comme :
    • la paperasse (82 %)
    • la planification (79 %)
    • les feuilles de temps (78 %)
    • la comptabilité (69 %)
    • les dépenses personnelles (65 %)
    • la gestion des courriels (60 %)
  • Selon les dirigeants, l’IA pourrait aussi améliorer la vie des employés. Un grand nombre d’entre eux pensent que les employés seraient prêts à travailler avec un responsable de l’IA si cela leur donnait la liberté et la flexibilité de travailler à distance (71 %) ou si cela se traduisait par une charge de travail mieux équilibrée (64 %). La plupart (70 %) sont d’avis que grâce à l’IA, on pourra se concentrer sur les travaux importants et avoir plus de temps libre.

Parmi les consommateurs interrogés, 63 % sont d’avis que l’IA nous aidera à résoudre les problèmes complexes de nos sociétés modernes et 59 % pensent qu’elle nous permettra de mener une vie plus épanouissante.

  • Dans les cinq prochaines années, les consommateurs pensent que l’IA pourrait remplacer :
    • les formateurs (58 %)
    • les agents de voyage (56 %)
    • les préparateurs de déclarations fiscales (54 %)
    • les commis de bureau (52 %)
  • Plus de la moitié des consommateurs pensent que l’IA permettra d’offrir du soutien pédagogique aux enfants défavorisés et plus de 40 % pensent qu’elle permettra aux personnes à faible revenu d’accéder plus facilement à des services financiers, médicaux, juridiques et de transport.
  • Par ailleurs, les consommateurs seraient prêts à partager leurs données personnelles pour améliorer la circulation dans leur ville (62 %) ou pour faire avancer la recherche médicale (57 %), par exemple.