Une étude mondiale menée par le cabinet de dotation en personnel Kelly Services auprès d’environ 122 000 personnes révèle que 40 % des répondants canadiens seraient susceptibles de recommander leur employeur à un ami ou à un collègue, comparativement à 28 % des répondants de l’Asie-Pacifique et à 24 % de ceux de la région Europe, Moyen-Orient, Afrique (EMA).
Fait intéressant, pour qu’un travailleur recommande son employeur, le facteur le plus déterminant n’est pas la rémunération.
Au Canada, le facteur le plus important est plutôt « la croissance et l’avancement personnel », alors qu’au niveau mondial, il s’agit de « la culture et la réputation de l’entreprise ». La rémunération est aussi surclassée par « un travail intéressant ou stimulant » et « l’épanouissement personnel ».